L’épicéa, une fois encore, est très utilisé : les murs et les toits sont recouverts de «tavaillons» .

Petites planchettes de largeur variable, réalisées en bois fendu afin que l’eau ne s’infiltre pas, assemblées, clouées bord à bord, superposées verticalement afin d’assurer une parfaite étanchéité. Il y a 34000 tavaillons sur le toit de l’écomusée, restauré en 1999.

De tous temps, l’instinct de survie a guidé hommes et animaux. Ils n’avaient nul besoin d’être ingénieurs, il leur suffisait d’être ingénieux. La nature leur imposait des conditions si rudes, exigeant la cohabitation avec l’animal pour se réchauffer, se nourrir, s’endurcir. Ils ont appris la valeur des arbres, leurs qualités. Leur vie en dépendait. Aujourd’hui, c’est un Musée. Son contenu inspire le respect.              Album