VOYAGE D’ETUDE EN AVEYRON
AVEC
LES AMIS BOTANISTES 
Botanique
 

N’oublions pas, que sous la pluie, nous descendons vers notre lieu de pique-nique. Sur le chemin, il y a des fleurs qui dressent fièrement la tête, semblant nous dire : réjouissez-vous, nous aimons la pluie, elle nous rend plus belles  ! En effet, un Erodium bec de cigogne, ou bec de grue, émerge d’une fougère pour la dominer.


N’oublions pas, que sous la pluie, nous descendons vers notre lieu de pique-nique. Sur le chemin, il y a des fleurs qui dressent fièrement la tête, semblant nous dire : réjouissez-vous, nous aimons la pluie, elle nous rend plus belles  ! En effet, un Erodium bec de cigogne, ou bec de grue, émerge d’une fougère pour la dominer N’oublions pas, que sous la pluie, nous descendons vers notre lieu de pique-nique. Sur le chemin, il y a des fleurs qui dressent fièrement la tête, semblant nous dire : réjouissez-vous, nous aimons la pluie, elle nous rend plus belles  ! En effet, un Erodium bec de cigogne, ou bec de grue, émerge d’une fougère pour la dominer.

N’oublions pas, que sous la pluie, nous descendons vers notre lieu de pique-nique. Sur le chemin, il y a des fleurs qui dressent fièrement la tête, semblant nous dire : réjouissez-vous, nous aimons la pluie, elle nous rend plus belles  ! En effet, un Erodium bec de cigogne, ou bec de grue, émerge d’une fougère pour la dominer.

N’oublions pas, que sous la pluie, nous descendons vers notre lieu de pique-nique. Sur le chemin, il y a des fleurs qui dressent fièrement la tête, semblant nous dire : réjouissez-vous, nous aimons la pluie, elle nous rend plus belles  ! En effet, un Erodium bec de cigogne, ou bec de grue, émerge d’une fougère pour la dominer.

N’oublions pas, que sous la pluie, nous descendons vers notre lieu de pique-nique. Sur le chemin, il y a des fleurs qui dressent fièrement la tête, semblant nous dire : réjouissez-vous, nous aimons la pluie, elle nous rend plus belles  ! En effet, un Erodium bec de cigogne, ou bec de grue, émerge d’une fougère pour la dominer.

peigne à carder,peigne à carder

N’oublions pas, que sous la pluie, nous descendons vers notre lieu de pique-nique. Sur le chemin, il y a des fleurs qui dressent fièrement la tête, semblant nous dire : réjouissez-vous, nous aimons la pluie, elle nous rend plus belles  ! En effet, un Erodium bec de cigogne, ou bec de grue, émerge d’une fougère pour la dominer.

La Garance voyageuse tend ses bras rugueux et s’accroche pour voyager et se propager.

Un autre Géranium, colombin celui-là, aime aussi la compagnie des fougères. Il faut dire qu’elles sont omniprésentes et variées. Pour un profane, il est aussi difficile de les nommer que les orchis, par exemple.

Sur ce sentier médiéval, fleurant bon la Menthe, les Fraises des bois régalent bien des gourmands.

Voilà deux Fougères, très différentes, qui voisinent sans heurts. Au-dessus, Fougère aigle d’après Arnaud, à côté, Fougère sauvage, on s’en serait douté, mais est-ce la bonne appellation ?

Les tout-petits Myosotis refusent de se laisser oublier, les Ancolies semblent un peu fatiguées et les Digitales en profitent pour s’affirmer. Il y en a partout. Grandes, arrogantes, séduisantes, elles nous interpellent, en se penchant vers nous. Mais nous ne succomberons pas à la tentation d’y toucher. Elles sont toxiques.

Chemin faisant, le Château se précise de plus en plus. Toujours embrumé, il se fait désirer.

Un chardon prénommé Cardère. Utilisé, lorsqu’il était sec, donc marron, pour carder la laine des moutons, c à d la peigner, pour la nettoyer, la lisser. Plus tard, des appareils, appelés peignes à carder, photo empruntée à Futura, puis des machines toujours actionnées par la force des bras etc. Aujourd’hui, tout est automatisé

Nous arrivons. La pluie, arrêtée un moment, a décidé de nous accompagner pendant le repas. Après tout, les arches du pont pourraient nous protéger ! Mais nous décidons de camper sous les arbres. Se mettre sous un saule pleureur quand il pleut ! Mais bon...Tout à côté de nous, un hôtel 4 étoiles au bord de l’Aveyron. Il n’apprécierait pas que nous demandions l’hospitalité. Tant pis. Ça méritait bien quelques photos, que je vais vous livrer. Nous sommes d’abord passés devant l’église Sainte Marie Madeleine XVe siècle. Une autre vue du Château. Le Pont. Des feux sont préparés pour la Saint Jean, installons-nous, les photos suivront.

Ce sera tout pour aujourd’hui ! Je ne dirais plus rien sur le pont, le château. Seules ces fleurettes qui colonisent les vieux murs pour les embellir, méritent d’être nommées. Ce sont les Cymbalaires des murs. Elles ont la larme à l’oeil, est-ce de joie? Est-ce à l’idée de notre trempette? Qu’importe, elles sont si mignonnes. Près d’elles, les Asters des Alpes. Elles rivalisent par la couleur.

Bon appétit. Notre «repas» se laissera déguster.


L’Aligot nous sera servi à l’Oustal.

A demain.





Voyage d’étude 2015  -1-


Photos 15/16/2015 -2-


Aveyron -4-

               Peigne à carder

HOTEL 4 ETOILES AU BORD DE L'AVEYRON