Conques, la quête.
En Concas, cette conche,
Tout arrive et
tous repartent,
tout passe, et
rien ne s’en va,
tous se lèvent et
tout s’enlève.
Et tout reste.
Ici, il faut être une ronce ou un lierre, pour soulever les pierres et casser les murs.
Peter Wessel
Clocheton de la demeure qui abrite l’Office du Tourisme, ancien hôtel de ville.
Pèlerins ou visiteurs, faîtes vos courses.
Tant de choses à dire sur ce village. Combien de générations se sont succédées, voyant passer les pèlerins de Saint Jacques de Compostel ! J’en parlerai dans une autre page. Tant de photos remplissent nos albums, notre mémoire.
Pour les rendre plus belles, je joins un diaporama.
Un clic sur cette photo vous ouvrira le diaporama.
Ermite du nom de Dadon, installé vers la fin du VIIIe siècle. Lieu propice à la méditation.
Douze siècles plus tard, l’écrivain catholique Daniel Rops, qualifiait Conques de «merveille du Rouergue» . «On connaît peu d’endroits qui parlent davantage à l’esprit et au coeur».
L’émerveillement continue : Le village, se niche dans la verdure. Ses maisons à pans de bois, recouvertes de lauze, se dressent dans ses ruelles étroites.
Nous descendons vers son Abbatiale !